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Friday, July 17, 2020

CLIFFS OF SEELISBERG & OBERBAUENSTOCK PEAK BY ALEXANDRE CALAME



ALEXANDRE CALAME (1810-1864) 
Oberbauenstock peak  (2,117m - 6,946 ft) 
Switzerland

In Cliffs of Seelisberg, Lake Lucerne, oil on canvas laid on cardboard, 1861,  
Courtesy John Mitchell Gallery, London 

About this painting
The hamlet of Seelisberg is located on one of Lake Lucerne’s promontories. Also referred to as the Vierwaldstättersee, the lake was a favourite haunt of Calame.  The shores of the lake have changed little since this daring and vertiginous view over the cliffs was painted. This oil sketch echoes Caspar David Friedrich’s sublime Cliffs at Rügen in the Oskar Reinhart Museum in Winterthur which also has an important collection of Calame paintings on public display.  
The mountain
The Oberbauenstock peak (2,117m -6,946 ft)  is a mountain of the Urner Alps, overlooking Lake Lucerne in Central Switzerland. Its summit is located on the border between the cantons of Nidwalden and Uri. The small resort of Seelisberg is situated like a peninsula and surrounded by the Vierwaldstättersee with majestic views of lake and mountains. The historically symbolic Rütli Meadow, legendary founding site of the Swiss Confederation, also belongs to Seelisberg.

The painter
Alexandre Calame was a Swiss painter. He was the son of a skillful marble worker in Vevey. His father lost the family fortune, and Alexandre Calame was forced to work in a bank at the age of 15. When his father fell from a building and then died, the young Calame provided for his mother.
In his spare time he began to practice drawing small views of Switzerland. In 1829 he met his patron, the banker Diodati, who made it possible for him to study under landscape painter François Diday. After a few months he decided to devote himself fully to art.
In 1835, he began exhibiting his Swiss-Alps and forest paintings in Paris and Berlin. He became quite well known, especially in Germany, although Calame was more a drawer than an illustrator. He is associated with the Dusseldorf school of painting. In 1842 he went to Paris and displayed his works Mont Blanc, the Jungfrau, the Brienzersee, the Monte Rosa and Mont Cervin. He taught in Geneva, where Adolf Mosengel was one of his pupils.
He went to Italy in 1844 and brought back from Rome and Naples countless paintings, among them one of the ruins of Paestum (in the city museum in Leipzig). He showed that he was capable of understanding Italian nature; but the Alps remained his speciality.
The glaciers, emerald-green, white foaming mountain water, which split the trees during the storm, and the whipped clouds, the multi-colored rocks, half masked from fog, in the rays of the gleaming sun, are those things, which he knew to be true to nature.
One of his most ingenious works is the representation of the four seasons and times of the day in four landscapes, a spring morning in the south, a summer midday in the Nordic flatlands, an Autumn evening, and a winter night on a mountain. He became popular with these large works, and his popularity grew with smaller pieces and lithographies, namely 18 studies of Lauterbrunnen and Meiringen and the 24 sheets of Alpine passes. These were widespread in France, England, and Germany and are still today used to teach this style of painting. 
An exhibition featuring more than thirty of Calame's paintings was held at the Sterling and Francine Clark Art Institute in Williamstown, Massachusetts in 2006.
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2020 - Wandering Vertexes..
by Francis Rousseau

 

Friday, October 28, 2022

L 'ACROPOLE D'ATHÊNES PEINT PAR FREDERIC EDWIN CHURCH

 

FREDERIC EDWIN CHURCH (1826-1900) The Acropolis of Athens (156m -512ft) Greece  In Acropolis od Athens,  oil on canvas, The MET
 
FREDERIC EDWIN CHURCH (1826-1900)
L'Acropole d'Athènes (156m -512ft)
Grèce

In Acropolis od Athens,  oil on canvas, The MET


La colline
L'Acropole d'Athènes (156m -512ft) (Ακρόπολη Αθηνών) est situé sur un plateau rocheux calcaire dont le sommet plat mesure environ 270 mètres d'est en ouest et 85 mètres du nord au sud, s'élargissant jusqu'à près de 150 mètres grâce au travaux faits au  Ve siècle avant l'ère chrétienne. Le terme d"acropole" (ἀκρόπολις / akrópolis) vient de l'adjectif ἄκρος (ákros "haut") et du nom πόλις (pólis, "ville, ville"), signifiant ainsi  la "ville haute".
Il est accessible du côté ouest par une pente raide menant aux Propylées. Le plateau peut être aussi atteint par deux failles creusées par l'érosion sur la  face nord . Les faces est et sud  sont aussi inaccessibles. C'est même par le côté est, jugé trop escarpé et donc non surveillé, que les Perses pénétrèrent dans la forteresse en 480 avant l'ère chrétienne.
Le sanctuaire de l'Acropole d'Athènes s'organise autour de la statue de la divinité tutélaire de la ville. Cette statue d'Athéna Polias n'est connue que par quelques textes. Ce devait être un Xoanon, une sorte de poutre en bois d'olivier, presque aniconique.   Elle devait être plutôt debout : une poutre est difficile à asseoir et ressemble plus à un personnage debout qu'assis ; il n'y a pas non plus de mention de trône dans les textes ; enfin, Athéna est le plus souvent représentée debout.
Chaque année, la statue était lavée, ses péplos changés et sa parure (bijoux et accessoires) nettoyée. Ses bijoux étaient des boucles d'oreilles, une bordure sur le cou et cinq colliers. Ses accessoires, tout en or, étaient une chouette, une égide, une gorgone et une phiale. Elle n'avait pas d'armes : elle n'était donc pas la déesse guerrière des statues les plus célèbres par la suite (Athéna Parthénos et Athéna Promachos de Phidias). Ces bijoux et accessoires pourraient dater de la "restructuration" de la statue primitive par Endoios. Il aurait fait de la poutre une corée en y fixant un bras (et une main tenant la phiale)

Le peintre
Frederic Edwin Church  est un peintre américain dont l'œuvre constitue l'expression la plus originale et la plus complète du romantisme dans la peinture américaine. Church a le paysage pour domaine. Élève de Thomas Cole entre 1844 et 1846, il commence par recueillir les formules ambiguës de son maître et sa vision d'un immense paysage dramatisé. Mais, tandis que chez la plupart des peintres de l'école de l'Hudson l'exemple de Cole aboutit à un type de paysage composé, tout de poncifs, Church le renouvelle par une étude passionnément objective de la nature. À partir de 1890 environ, il entreprend de grands voyages à travers le continent américain, accumulant des études sur le motif, où l'action de la lumière est notée avec une précision quasi photographique. Ces études s'apparentent à celles d'Asher B. Durand, par exemple, et, comme lui, Church les utilise pour de grands paysages composés. Mais au lieu d'« idéaliser » l'observation initiale suivant les vieux procédés du paysage classique, il rejoint plutôt la jeune tradition « luministe » américaine, son hyperréalisme de la lumière qui donne la même intensité à tous les détails. Les motifs de prédilection de Church, inspirés par les terribles magnificences de la nature — montagnes, forêts vierges, glaciers, chutes d'eau (Le Niagara, 1857, Cocoran Gallery of Art, Washington ; Le Cœur des Andes, 1859, Metropolitan Museum, New York ; Le Cotopaxi, collection Aston, New York) —, rejoignent le répertoire du grand romantisme européen (Caspar David Friedrich, J.M.W. Turner...) et contiennent le même pouvoir de suggestion, le même symbolisme élémentaire et puissant. À un moment où le romantisme ne s'exprime plus guère dans la peinture européenne que sous une forme dérisoire, l'œuvre de Church constitue une réalisation saisissante du rêve exprimé par Baudelaire, qui, dans le Salon de 1859, regrettait que l'imagination doive fuir le paysage et évoquait avec nostalgie « le paysage romantique et même le paysage romanesque ».

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2022 - Wandering Vertexes ....
            Errant au-dessus des Sommets Silencieux...
            Un blog de Francis Rousseau