google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 GRAVIR LES MONTAGNES... EN PEINTURE: June 2025

Wednesday, June 18, 2025

LE HAHNENKAMM PEINT PAR ALFONS WALDE

ALFONS WALDE (1891-1958) Le Hahnenkamm (1 712m) Autriche (Tyrol)  In Kitzbühel, Tirol, Austria, huile sir carton


ALFONS WALDE (1891-1958)
Le Hahnenkamm (1 712m)
Autriche (Tyrol)

In Kitzbühel, Tirol, Austria, huile sir carton 



La montagne 
Le Hahnenkamm (1 712m), littéralement « crête du Coq ») est un sommet des Alpes, dans les Alpes de Kitzbühel, en Autriche (Tyrol). Il accueille la célèbre piste de la Streif, à Kitzbühel, qui donne lieu à une fameuse épreuve de la coupe du monde de ski alpin.

Le peintre 
Alfons Walde (8 février 1891 - 11 décembre 1958) est un artiste et architecte autrichien. Walde est surtout connu pour ses peintures représentant paysages d'hiver, des scènes de la vie quotidienne dans le Tyrol ainsi que des scènes de ski et de sport, peintes à la détrempe ou à la peinture à l'huile. Son style se caractérise par un dessin épuré, l'utilisation d'empâtements et l'emploi de couleurs pastel. Beaucoup de ses œuvres peuvent sont conservées au musée de Kitzbühel.

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Saturday, June 14, 2025

MATTENBERG ET CLACIER INFÉRIEUR DU GRINDELWALD PEINT PAR CASPAR WOLF




CASPAR WOLF (1735-1783) Mättenberg ( 3104m)  Glacier inférieur de Grindelwald (987m) Suisse   In "Lower Grindelwald Glacier with Lütschine and the Mettenberg", Kunst Museum Winterthur

CASPAR WOLF (1735-1783)
Mättenberg ( 3104m) 
Glacier inférieur de Grindelwald (987m)
Suisse (Alpes Bernoises) 

In  Lower Grindelwald Glacier with Lütschine and the Mettenberg, Kunst Museum Winterthur

 

Les montagne et le glacier

Le glacier inférieur de Grindelwald (Unterer Grindelwaldgletscher) est un glacier des Alpes bernoises, situé au sud-est de Grindelwald, dans le canton de Berne (Suisse). Il trouve son origine sous l'Agassizhorn et le Strahlegghorn et est relié au glacier de l'Unteraar via le Finsteraarjoch (3 283 m). Le glacier inférieur de Grindelwald ne doit pas être confondu avec le glacier supérieur de Grindelwald, situé au nord-est. Le glacier inférieur de Grindelwald possède encore un affluent majeur, l'Ischmeer (« mer de glace » en suisse allemand, anciennement connue sous le nom de « glacier de Grindelwald-Fiescher », qui est le glacier surplombé par la station Eismeer du chemin de fer de la Jungfrau.
Le glacier inférieur de Grindelwald mesurait 8,3 km de long et couvrait une superficie de 20,8 km2 en 1973. Il a considérablement rétréci depuis, ayant une longueur de seulement 6,2 km en 2015, le retrait de 1,9 km étant principalement intervenu depuis 2007.
Au milieu du 19e siècle, le glacier atteignait la vallée de Grindelwald jusqu'à Mättenberg (comme le montre cette toile) , à une altitude de 983 m, près de la confluence de la Lütschine blanche et de la Lütschine noire. En 1900, il s'étendait encore jusqu'au Rotenflue (1 200 m) et remplissait toute la vallée depuis son extrémité actuelle, le lac glaciaire, avec une épaisseur d'environ 300 m jusqu'à une altitude de 1 700 m, juste en dessous de l'actuel chemin de randonnée autour du Bänisegg. Au début des années 2000, il avait reculé jusqu'à la gorge entre l'arête du Hörnli (Eiger) et le Mättenberg.

Le Mättenberg, ou Mettenberg
, est un sommet des Alpes bernoises, en Suisse, situé dans le canton de Berne, qui culmine à 3 104 m d'altitude. Il domine le glacier inférieur de Grindelwald au sud-ouest, le Wächselgletscher et le glacier supérieur de Grindelwald au nord-est et le village de Grindelwald au nord-ouest. La première ascension du Mättenberg fut effectuée avant 1817 par Friedrich Lehmann, pasteur de Grindelwald.

Le peintre
Caspar Wolf est un peintre suisse. Après ses études, il devient l’élève de Jakob von Lenz à Constance, en Allemagne. Il complétera sa formation à Augsbourg, Munich et Passau. En 1760, il revient à Muri où il peint des retables, des faïences pour poêles et des cartons destinés à la tapisserie. De 1769 à 1771, il séjourne à Paris où le thème du paysage alpin fait fureur dans les salons. De retour à Muri, il décide de voyager à travers la Suisse et de se consacrer à la peinture de paysages alpins dont il sera le précurseur. De 1774 à 1778/79, à la demande de l’éditeur Abraham Wagner-le jeune (1734-1782), il exécute une série de 150 paysages, parfois de grandes dimensions, dont une série de 10 gravures de la vallée de Lauterbrunnen (canton de Berne), au pied du massif de la Jungfrau. Ces œuvres seront éditées dès 1772 sous forme de gravures à l’eau-forte ou au burin et coloriées à la main. En introduisant l’univers alpestre dans la peinture suisse, Caspar Wolf, tout comme Johann Heinrich Wüest (1741-1821), contribue à l’élaboration du mythe de la Suisse.
En 1779-1780, les œuvres de Wolf sont exposées à Paris chez la comtesse de Malassise. 1780-1781 le voient travailler à Cologne, Aix-la-Chapelle et Düsseldorf.
En 1783, il décède à Heidelberg. Il était âgé de 48 ans.
Une série de gravures éditées à Amsterdam en 1785, après un long et surprenant périple, arriveront à Lisse au château de Keukenhof (Hollande) où elles seront redécouvertes vers 1940. L’œuvre de Caspar Wolf marque une étape dans l’évolution de la peinture de paysage réaliste au 18e siècle. Il ne cherche pas à dramatiser et tente une description objective de la nature qu’il peint. C’est une approche moderne qui annonce le19e siècle ouvrant ainsi la voie à une nouvelle conception de la nature. Les montagnes ne seront plus considérées comme un chaos effrayant, terreur des montagnards et des promeneurs mais comme un univers sublime susceptible d’exercer une influence positive sur l’âme humaine et d’ouvrir les portes de la liberté.
Le contemporain de Caspar Wolf, le médecin et botaniste bernois Albrecht von Haller (1708-1777), célèbre – entre autres - pour son long poème « Les Alpes », se reconnaissant dans les œuvres de Caspar Wolf, préfacera la parution de ses gravures.

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Tuesday, June 10, 2025

LE MASSIF DE L'ATLAS PEINT PAR HENRI PONTOIS



HENRI PONTOY (1888 - 1968) L'Atlas (4167m) Maroc, Algérie,Tunisie.  In Le retour à la casbah, Huile sur panneau


HENRI PONTOY (1888 - 1968)
L'Atlas (4167m)
Maroc, Algérie,Tunisie.

In Le retour à la casbah, Huile sur panneau

Le massif montagneux
L'Atlas جبال الأطلس) relevé sous la forme Dern/Deren par Ibn Khaldoun et sous la forme Dyris/Addiris/Duris par Pline l'Ancien et Strabon) est un massif montagneux et une cordillère d'Afrique du Nord, culminant à 4 167 mètres au djebel Toubkal, au Maroc. Il s'étend sur trois pays :  le Maroc, l'Algérie et la Tunisie.
D'après Strabon, le nom indigène de l'Atlas serait Duris, Pline l'Ancien quant à lui rapporte Dyris ou Addiris. Ces noms sont peut-être à rapprocher du mot « montagne » en berbère qui est adrar, dont le pluriel pourrait prendre une forme spéciale derren bien que celui généralement attesté soit idraren. C'est la forme Deren(درن) qui est utilisée par Ibn Khaldoun dans son célèbre ouvrage Al-Muqaddimah lorsqu'il décrit la chaîne de montagnes de l'Atlas (à quoi il rattache comme extrémité orientale l'Aurès).
Les montagnes généralement désignées comme Atlas par les auteurs de l'époque romaine tels Pline l'Ancien seraient celles du Haut Atlas occidental, du fait de textes plus anciens rédigés par Polybe, chargé par Scipion Émilien d'une reconnaissance le long des côtes de l'océan Atlantique au moment de la troisième guerre punique.
Dans le Haut-Atlas, c'est le nom de « Deren » utilisé par Ibn Khaldoun qui subsiste auprès des populations berbères locales, il y est relevé par plusieurs explorateurs européens au xixe siècle sous des formes voisines (Deren, Dern, Drenn...). D'après Foucauld, Deren serait un nom propre n'ayant pas de sens particulier. Selon J. Gatell, Adrar En-Dern (en alphabet berbère latin : Adrar n Dern) signifierait la « montagne qui parle » en référence aux clameurs mystérieuses qu'on y entendrait tous les ans durant le temps de la moisson. M. Quedenfeldt quant à lui traduit Adrar-n-Drenn par « montagne du tonnerre » ou « du fracas » en référence à un mystérieux bruit qui s'y produirait une fois par an. Ce serait, selon une tradition locale, le rugissement d'un lion gigantesque. Le linguiste Émile Laoust, qui a étudié les Chleuhs du Maroc, avance concernant ces derniers : « Les Berbères [de la région] entendent par Adrär n Deren la partie du Haut Atlas comprise entre le Tizi n Maʿsu et le Tizi n Telwät, appelé par les anciens cartographes la « Porte du Deren ». Dans le Deren se dressent les sommets les plus élevés, non seulement du massif, mais de toute l’Afrique du Nord . Il est clair qu'il s'agit du même Deren évoqué par Ibn Khaldoun au xive siècle bien que l'aire désignée soit plus petite. Notons toutefois qu'Ibn Khaldoun utilise le mot Deren (درن) et non Adrar n Deren qui lui se traduit par « montagne de Deren ».
En prenant en considération que la terminaison -ίς est un suffixe nominal féminin en grec ancien, les formes Duris, Dyris ou Addirisrapportées par les auteurs greco-latins ont certainement pour origine un mot de la racine berbère DR comme Deren, le suffixe -n pouvant marquer le pluriel (d'où le sens possible de « montagnes »). Son évocation par Strabon dans sa Geographica fait ainsi remonter l'ancrage de ce nom dans la toponymie locale jusqu'à l'Antiquité préchrétienne au moins.
Dans les dernières années, des instances officielles de l'aménagement de la langue berbère, comme l'Institut royal de la culture amazighe (IRCAM) au Maroc créé par le royaume et l'État marocain, ont choisi d'employer le mot Aṭla  pour désigner le massif de l'Atlas.
L'expression « les Atlas maghrébins » au pluriel est aussi parfois utilisée du fait que l'Atlas s'étend sur un vaste territoire englobant plusieurs pays et régions.

Le peintre
Henri Pontoy est un peintre français.
Henri Pontoy entre à l'École des beaux-arts de Paris, dans l'atelier de Luc-Olivier Merson, et expose ses gravures au Salon des artistes français, et ses peintures au Salon de la Société nationale des beaux-arts, au Salon d'Automne, ainsi qu'au Salon des artistes orientalistes algériens. En 1926, il est titulaire d'une bourse de voyage de la Société coloniale des artistes français qui lui permet de voyager en Afrique du Nord, notamment en Tunisie où il devient sociétaire du Salon Tunisien la même année, pour se rendre ensuite au Maroc et en Afrique-Occidentale française. Il réside plusieurs années vers 1930 à Ouarzazate où il fait la connaissance du peintre Jacques Majorelle. Il devient professeur des arts et lettres au lycée Moulay Idriss à Fès. Il est lauréat 1933 du grand prix de la ville d'Alger. Il repart après la Seconde Guerre mondiale, en 1947, avec Majorelle, en Guinée, Côte d'Ivoire et Cameroun. Il obtient le prix du Cameroun en 1951. Sa palette fraîche, aérée et de couleurs chaudes, tant en huiles qu'en aquarelles, a toujours rencontré un vif succès. Il est l'un des derniers représentants français de l'orientalisme trouvant son apogée dans l'entre-deux-guerres.

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Friday, June 6, 2025

LES DUNES DE BOU SAADA PEINTES PAR EUGÈNE GIRARDET

EUGÈNE GIRARDET (1853-1907) Dunes de Bou Saada (1330 m) Algérie  In Caravane dans les dunes de Bu S‘ādah, Musée des beaux-arts d'Alger


EUGÈNE GIRARDET (1853-1907)
Dunes de Bou Saada (1330 m)
Algérie

In Caravane dans les dunes de Bu S‘ādah, Musée des beaux-arts d'Alger


Les dunes
Bou Saâda, Bou Saada ou Boussada (بوسعادة,) est une commune de la wilaya de M'Sila, située à 241 km au sud-est d'Alger. Bou Saâda est aussi surnommée « cité du bonheur », ou encore « porte du désert » étant l'oasis la plus proche du littoral algérien. Les communes d'El Hamel et de Oultem dépendent de la daïra de Bou Saâda. La ville abrite plusieurs monuments et sites historiques : la vieille médina, le tombeau du peintre Nasreddine Dinet, le vieux Ksar, le fort Cavaignac, le moulin Ferrero, le Souk de l'artisanat et la Zaouia d'El Hamel, des mausolées où reposent Mohammed Ben Belgacem, fondateur de la Zaouia Rahmaniya et sa fille Lalla Zineb qui dirigea la Zaouia au 19e siècle.
Bou-Saâda est située au sud-ouest du Hodna dans les Hauts Plateaux, au pied des monts des Ouled Naïl de l'Atlas saharien. Elle est distante de la capitale Alger de 250 km par les gorges de Lakhdaria et de 237 km par les monts de Tablat.


Le peintre
Eugène Alexis Girardet,  est un peintre orientaliste français. Issu d'une famille suisse huguenote, Eugène Girardet est le fils du graveur Paul Girardet (1821-1893), et le frère des peintres Jules Girardet et Léon Girardet. Il étudie à l’École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de Jean-Léon Gérôme(1824-1904). Gérôme l’incite à visiter l’Afrique du Nord dès 1874, notamment le Maroc, mais aussi la Tunisie ou encore l’Espagne. Il effectue huit séjours en Algérie à partir de 1879, essentiellement dans le Sud aux alentours des oasis de Biskra, Bou Saâda et El Kantara où il rencontre Étienne Dinet. En 1898, il se rend en Égypte et en Palestine. Il représente des scènes de la vie nomade ou du désert. Son œuvre est influencée par la lumière et l’atmosphère de l’Orient[4].
Il expose au Salon de la Société nationale des beaux-arts, au Salon de la Société des peintres orientalistes français, au Salon de Paris, à l’Exposition universelle de 1900 et à l’Exposition coloniale de Marseille (1906). Eugène Girardet meurt en 1907 à Paris et est enterré au cimetière du Père-Lachaise (36e division)
Ses œuvres sont conservées à Paris au musée d’Orsay, au musée des beaux-arts de Dijon, au musée des beaux-arts de Nantes, au musée des beaux-arts de Troyes, à Bayonne au musée Bonnat-Helleu, à New York au musée d'art Daheshet au musée des beaux-arts d'Alger.

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Monday, June 2, 2025

LE DJUDJURA PEINT PAR AZOUAOU MAMMERI

AZOUAOU MAMMERI (1890-1954) Djudjura (2308m) Algérie

 

AZOUAOU MAMMERI (1890-1954)
Djudjura (2308m)
Algérie 

 Le massif montagneux
Le Djurdjura (en berbère Ǧeṛǧeṛ) est un massif montagneux de Kabylie (Algérie) appartenant à la chaîne de l'Atlas tellien.
De forme lenticulaire, il s'étend sur une longueur de près de 110 km. Il culmine à 2 308 m au sommet de Lalla Khedidja et les cols qui le franchissent dépassent souvent les 1 000 m d'altitude. Sa ligne de crête, orientée est-ouest, se trouve à une soixantaine de kilomètres de la mer Méditerranée, dont il est séparé par la vallée du fleuve Sebaou, puis par les hauteurs de la région de Timizart et de Boudjima. Ce massif est une réserve de biosphère reconnue par l'UNESCO depuis 1997, incluant le parc national du Djurdjura.


Le peintre
Azouaou Mammeri (en kabyle: Azwaw At Mɛemmer,) est un peintre algérien. Issu de la tribu des Aït Yenni, il est le fils de Saïd ben Mohammed. Il est le plus illustre représentant de la famille Mammeri qui, depuis les débuts de la présence française en Kabylie a fourni de nombreux Amin-El-Oumena et des caïds à l'administration. Il appartient à la même famille que l'écrivain et anthropologue Mouloud Mammeri. Son petit-fils Azwaw Mammeri (1954-2021), qui signe « Azwaw », est également peintre. Il est nommé instituteur en octobre 1909 à Toudja, près de Béjaia. Il y fait la connaissance d'Édouard Herzog qui le conseille à ses débuts de peintre. En 1913 il est nommé à Gouraya entre Cherchell et Ténès et y est remarqué par Léon Carré qui lui fait partager durant huit mois son savoir pictural.
En 1916, il se rend à Fès auprès de son cousin précepteur du prince Mohamed (futur Mohamed V) fils du Sultan Moulay Youssef, et il est successivement professeur à Fès et Rabat, puis professeur de dessin d'ornement au collège musulman de Rabat.
En 1921, Léonce Bénédite acquiert pour le Musée du Luxembourg ses deux premières toiles exposées.
Revenu en Algérie en 1922, rappelé comme caid du douar des Beni-Yenni, Azouaou Mammeri obtient en 1922 du Gouvernement général d'Algérie une bourse d'études pour l'Espagne dont il ramène en 1924 de nombreuses toiles peintes à Cordoue, Grenade, Séville ou Tolède.
Il retourne au Maroc en 1927, et occupe les postes de professeur de dessin à Fez, d'inspecteur régional des arts indigènes à Rabat en 1928, et le 1er janvier 1929 est nommé inspecteur des arts marocains à Marrakech poste qu'il conservera jusqu'en 1948.
Il fonde après sa retraite un musée des Arts indigènes à Dar Si Said (Marrakech), une école et des orchestres de musique andalouse et de chants berbères, disposant d'une émission hebdomadaire sur Radio Rabat.
Il est fait chevalier de la Légion d'Honneur en 1950
Il sera également illustrateur pour Jérôme Tharaud (Marrakech ou les seigneurs de l'Atlas, 1920), et Thérèse Gadola (La féerie marocaine).
Azouaou Mammeri est représenté à l'exposition des « Peintres algériens » organisée en 1963 à Alger pour les « Fêtes du 1er novembre » et préfacée par Jean Sénac.
Azouaou Mammeri obtient pour l'ensemble de son œuvre, à titre posthume, le Grand Prix artistique de l'Algérie 1955. 

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